pour répondre à ceux qui accusent Alain Soral de racisme

Il faut savoir que Jérémie Maradas-Nado alias Jo Dalton est un professeur de taekwondo à l'Haÿ-aux-Roses. Il a transformé en métier l'activité criminelle qu'il a pratiquée dans sa jeunesse et qu'il revendique encore aujourd'hui au mépris des lois françaises: le cassage de gueule des Blancs soupçonnés de racisme.

Il reproche aux Blancs d'être racistes, c'est-à-dire de vouloir protéger la race blanche, mais lui-même tient un discours qu'on pourrait qualifier d'afrocentriste, Black Power, du genre "les Noirs ont tout inventé, l'Egypte antique était kémite, les Grecs anciens se sont inspirés du savoir africain etc". Il raconte des conneries plus grosses que lui-même et fait rire beaucoup de monde quand il prend maladroitement la parole pour s'exprimer dans un français approximatif, mais s'il n'était qu'un bouffon, rappeur/orateur raté, il serait juste ridicule. Le côté inquiétant, c'est qu'il revendique ouvertement l'emploi de la violence physique pour imposer sa vision afrocentriste du monde.

Revenons aux origines sociales et raciales de Jérémie Maradas Nado. Nado met systématiquement en avant le fait qu'il vient du ghetto, dans un phrasé gangsta-rap/reggae issue de la sous-culture afro-américaine. En réalité, son père était sénateur de la Vème République. Si Jo Dalton est resté en France au lieu de rentrer dans son pays d'origine, la Centrafrique, c'est parce que la Centrafrique est minée par la guerre civile depuis la décolonisation. En clair, Marados-Nado a préféré rester en France se battre contre des skinheads blancs, plutôt que risquer de se faire découper en morceaux et dévorer par ses "frères blacks", ses congénères centrafricains. Lui qui parle de lutte, de courage et de dignité en permanence n'a même pas eu les couilles de rentrer vivre dans son pays d'origine pour au moins essayer de faire face aux conflits internes, quitte à jouer un rôle (certes risqué) de pacificateur.

Non seulement il a préféré vivre par lâcheté dans un pays qui n'est pas le sien, mais par dessus le marché, il s'est permis d'entretenir, voire de créer carrément des conflits raciaux dans son pays d'accueil (le nôtre), au nom de la lutte antiraciste. Au nom de la protection des Noirs, il s'est permis d'aller agresser des militants nationalistes blancs en se vantant de "chasser les skinheads". Le type n'a même pas les couilles de rentrer vivre parmi les siens qui, pour des raisons diverses (probablement tribales et culturelles),  se bouffent entre eux, mais il se pose par dessus le marché en donneur de leçon et en garant de l'ordre antiraciste en France! Il fait la police contre les méchants racistes qui considèrent que la France doit rester majoritairement peuplée de Blancs. On comprend effectivement que si tous les pays d'Afrique noire sont ravagés par la famine, les épidémies et les guerres civiles, les Africains noirs ont grandement intérêt à émigrer massivement vers l'Europe et à y sécuriser leur position en tabassant tous les allogènes (c'est-à-dire nous, les Européens) qui s'opposent à ce phénomène de mélange des races et qui estiment que chaque peuple doit être libre et souverain sur son propre territoire.

Jérémie Maradas-Nado, on l'a compris, est un piètre orateur, et un théoricien fumeux. Il sort tellement de conneries, de contradictions que personne ne le prend au sérieux, à part ses sbires qui se réclament du gangsta-rap, de la voyoucratie et du Black Power. Dans chacune de ses vidéos, il rappelle qu'il fait des arts martiaux et qu'il est prêt à agresser physiquement quiconque ne partage pas sa vision des choses. Sans craindre la moindre persécution judiciaire, il annonce ouvertement qu'il tabassera tous les "racistes" (selon sa définition du terme "raciste", bien entendu) qu'il croisera. En clair, il ne cherche pas à convaincre par le raisonnement, mais à intimider, à menacer, à terroriser par la crainte des coups. Plusieurs vidéos montrent explicitement cet état d'esprit.

Exemple (vers la 6ème minute): il menace de frapper Zemmour à coups de pied s'il le croise


Il fait l'apologie du viol entre détenus:


De plus, je suis certain que chez lui tout est régi par la pure force physique, ou plus exactement par la crainte des coups. Je repense ici à la confrontation virtuelle qui l'a opposé au rappeur Rohff il y a quelques années de cela, par vidéos interposées. Rohff avait publié une vidéo célèbre où il insultait et menaçait Jérémie Maradas-Nado sans le nommer - mais tout le monde savait à qui il s'adressait. Par la suite, Maradas-Nado avait répondu en jouant la carte de la pacification, tout en précisant qu'il ne craignait pas Rohff, mais qu'en substance il voulait que les "frères noirs arrêtent de se faire la guerre". Dans une vidéo postérieure, il s'était carrément excusé afin de confirmer sa volonté d'apaisement et de mettre fin à l'embrouille (pour ceux qui se souviennent, c'était une vidéo où un certain Salim l'Ancêtre avait joué le médiateur). Il n'avait pas fallu attendre un an ou deux pour qu'il se remette à lancer des provocations à Rohff, par vidéos interposées. Pour qui sait interpréter la psychologie de ce genre d'individu, le message est clair:
1) Rohff menace ouvertement Maradas-Nado, qui doit soit relever le défi (du combat physique), soit s'excuser
2) Maradas-Nado prend acte et s'excuse, en jouant la carte du pacifisme et en sous-entendant qu'il ne craint pas Rohff, qu'il a les moyens physiques de le battre, mais que moralement il préfère la "paix entre frères noirs" (mais alors pourquoi avoir lancé des provocations à Rohff à la base?)
3) Deux ou trois ans passent, l'affaire se tasse. Au cours d'une interview, Maradas-Nado se remet à tacler Rohff de façon non-préméditée, confirmant ainsi que ses précédentes excuses n'étaient pas du tout sincères, mais uniquement guidées par la peur. En outre, le passage à tabac de MC Jean Gabin n'a pas entraîné de représailles envers Rohff ou ses proches.

Voilà donc comment Maradas-Nado fonctionne: quand il est face à un réel danger, comme la rage cannibale de ses congénères centrafricains, il s'exile et part vivre dans un pays en paix. Quand il est face à un danger relatif (les skinheads blancs), il fait le coq, revendique la violence et profite de l'accointement des médias aux ordres et de la répression policière pour s'arroger à lui seul (en tant que chef de gang) le mérite d'avoir "chassé les skins". Il suffit de lire le témoignage de Mathias Cardet dans Hooliblack pour connaître les faits réels: des ratonnades inversées pratiquées par un gang noir sur des jeunes Blancs à l'apparence suspecte (qui parle de racisme?).

Je n'ai même pas eu le loisir de m'attarder sur le mot "gang". Car oui, vous ne rêvez pas, Maradas-Nado s'enorgueillit d'avoir été le chef d'un gang, à l'instar de Lamence Mazdou qui s'est aujourd'hui recyclé en donneur de leçons pour ados difficiles dans l'émission 'Pascal le grand frère' (véridique). Il ne parle même pas d'erreur de jeunesse, il affiche son passé comme un trophée militaire, il a même écrit un livre sur le sujet (comme Mazdou, bis). "J'ai été gangster et j'ai nettoyé les rues parisiennes des skins, vous devez me remercier pour mon travail". Ce n'est pas une blague et certains jeunes influençables croient à sa rhétorique.

Bien entendu, pas un mot sur les innombrables affaires de racket, de trafic de drogue, de passage à tabac gratuit, de viols en réunion, de guerres inter-tribales qui pèsent sur les gangs noirs des années 90, que ce soit les Black Dragons ou les Requins Vicieux. Pas un mot sur le fait que ces Noirs qui prétendaient rétablir l'ordre en région parisienne en "chassant les skinheads (blancs) racistes" ont en réalité instauré une terreur pratiquée par des bandes afro-maghrébines ultra-violentes sur des victimes majoritairement blanches et civiles, en termes numériques au moins 10 fois supérieurs à la fantasmatique "présence skinhead" des années 80.

En somme, quelle est la leçon à retenir de cette histoire? Si tu es un Noir africain et que tu retournes ou restes dans ton pays d'origine en proie à la guerre civile, d'une part tu es obligé de prendre les armes et de te battre pour de vrai (avec des fusils et pas des arts martiaux inspirés de films de Bruce Lee); tu risques donc:
- de te prendre une ou plusieurs balles
- d'être fait prisonnier
- de finir en taule
- de finir lynché, brûlé vif, découpé en morceaux, dévoré par une foule hostile, comme c'est régulièrement le cas en Afrique noire (ce genre de scène est souvent filmé et relayé sur internet)
- de crever la dalle, car pour les populations civiles qui ne se battent pas, guerre = famine + misère
- de rester au chômage et de galérer pour survivre

Alors qu'en France, tu peux:
- créer ton propre gang sans être inquiété par les flics
- contrôler un territoire (la Défense) et y imposer ta loi, te servir dans les magasins sans payer
- parader dans les médias et te faire interviewer comme une star, même si tu rappes comme Amandine du 67 (ou du 62, bref)
- devenir célèbre en ayant commis des crimes, délits, en ayant tabassé des gens
- sortir un livre en maison d'édition (ce dont rêvent tous les auteurs littéraires indépendants qui galèrent) et bénéficier d'une promo nationale (distrib à Gibert Joseph)
- sortir des albums de rap complètement pourris, mais street crédibles (ancien chef des Black Dragons, tabasseur de skins, donc respect)
- dénoncer le racisme des Français blancs tout en tenant toi-même un discours digne du suprématisme noir
- faire carrière en tant que professeur d'arts martiaux dans une municipalité de banlieue, alors que normalement le simple fait d'avoir un casier judiciaire devrait te bannir à vie de tout poste lié à l'exercice d'une activité sportive violente, voire de toute activité en relation avec des plus jeunes...

Tout ce que je dis ici est également valable pour le pseudo-rappeur Charles M'Bouss alias MC Jean Gabin. Ces types sont des parasites qui n'ont probablement jamais travaillé et qui ne gagnent leur vie qu'en vendant leur gloriole fabriquée sur la base de rumeurs amplifiées et de crimes revendiqués. Des types qui pavanent chez Ruquier en parlant de braquos, d'enlèvement contre raçon alors que n'importe quel militant d'extrême-droite (cf Michel Lajoie, Maxime Brunerie) prendrait 10 ans fermes pour 10 fois moins.

Non seulement ces Noirs pratiquent l'intimidation physique en menaçant de frapper les gens qui les contrediraient (sauf s'ils sont plus forts qu'eux, comme le rappeur Rohff, un sacré cas lui aussi), non seulement ils s'en vantent en faisant le buzz dans les médias sans la moindre poursuite judiciaire, non seulement ils se revendiquent du "code de la rue" (on balance pas, on porte jamais plainte, on se fait justice nous-même, on fait des vendettas) dans des interviews vidéos publiques consultables par tout le monde (flics inclus), mais en plus, par dessus le marché, ils réclament la protection de la loi française quand ils sont victimes du RACISME. Vous savez, le fameux racisme des enculés de skinheads de sa mère la pute qu'ils ont tabassé leur race à coups de batte. Cela, porter plainte contre Alain Soral pour "injures racistes" comme cette top model noire Bintu ("gorille-femelle") l'a fait, cela ne les dérange pas, cela ne contredit pas leur code de l'honneur de la rue. En gros, si t'es raciste on a le droit de t'insulter, de te menacer, de te tabasser, de venir à 30 devant ton lycée, et même de porter plainte contre toi. Toi t'as le droit de la fermer, car 1) t'es moins fort que nous, on fait de la muscu et des arts martiaux et 2) les lois de ton propre pays t'interdisent d'être raciste. Par contre si on te défonce la gueule pour t'empêcher d'exprimer ce que tu penses, t'as pas le droit d'aller porter plainte, sale balance, les keufs sont racistes, espèce de sale bourge, tes parents sont potes avec les juges et l'Assemblée nationale qui fait les lois, bla bla...

Quelle est la France que Jérémie Maradas-Nado est en train de fabriquer? Cette France-là n'a rien de nouveau, elle existe déjà sous le nom de Centrafrique. Un pays où, pour un mot de travers ("il a traité ma mère"), pour une question de jalousie sexuelle/raciale (le Blanc a baisé ma soeur noire), pour un soupçon infondé (comme Sébastien Judalet à Madagascar en octobre 2013, soupçonné de pédophilie et brûlé vif par une foule en colère sans le moindre début de preuve) tu peux te faire lyncher en public, brûler vif, découper en morceaux et dévorer, le tout étant filmé. Ceux qui nient que les Africains pratiquent encore le cannibalisme: les preuves en images sont là (attention vidéo choquante):

Spoiler:

Mad Dog est chrétien, les soldats de la Seleka sont musulmans, donc dès que Mad Dog voit un musulman, il veut lui bouffer la jambe et boire son sang. C'est ça l'Afrique noire, tous les pays d'Afrique subsaharienne sont comme ça et je défie quiconque de me prouver le contraire et de prouver que les vidéos qui circulent sur le net sont des montages racistes. Tous les endroits de la planète habités par une populaire noire/afro-descendante massive finissent par tomber dans cette logique infantile tribale, que ce soit Chicago, le Brésil, l'Afrique du Sud post-apartheid...

Vous niez que vous êtes des cannibales parce que vous voulez nous bouffer, voilà la vérité. Vous nous accusez de racisme parce que vous voulez nous génocider et vous venger de l'esclavage (vous vous êtes vendus entre Noirs en fait) et de la colonisation (vous étiez incapables de gérer vos propres ressources naturelles alors on l'a fait à votre place); voilà la vérité.

Vous êtes des grands enfants et des animaux dangereux, bien pires que des animaux en fait: voilà la vérité. Vous haïssez l'homme blanc parce qu'il incarne la Civilisation, la seule force capable de dompter votre sauvagerie. Vous profitez de la pédalisation de l'homme blanc et du droit occidental pour tenir un double discours et pour pratiquer ce que vous dénoncez vous-mêmes, mais en vérité ce cirque ne pourra pas durer longtemps. Soit l'homme blanc crèvera, et alors vous ne pourrez plus parasiter notre savoir et vous serez obligés de compter sur vous-mêmes pour vous en sortir dans la vie: on voit ce que ça donne dans les pays africains indépendants (guerre civile, népotisme, famine, corruption, épidémies, chaos). Soit il se réveillera, et vous serez punis comme vous le méritez, car plus vous criez "vengeance contre l'homme blanc", plus vous réclamez cette fameuse vengeance de notre part pour toutes les saloperies, tous les affronts que vous nous faites subir depuis que le patronat, la classe politique parlementaire et le lobby juif nous ont imposé votre présence sur le sol européen.

Il vous a proposé la réconciliation nationale; vous n'en voulez pas; vous allez devoir assumer.

Si vous voulez (si vous pouvez) discuter, sans les dents, sans les poings, sans les machettes, avec le cerveau et avec le coeur, alors discutons, sans mauvaise foi ni langue de bois, discutons comme des êtres humains.



Petite note pour ceux qui, en lisant ces modestes lignes, seraient tentés de me châtier d'une manière ou d'une autre pour avoir l'impudence de dire la vérité: j'ai un excellent avocat et quelques contacts personnels au sein de la police et de la justice (mais aussi parmi des gens moins recommandables). Toute action entraînerait une réaction proportionnelle à mes moyens, sachant que je suis extrêmement rancunier et que j'ai une mémoire d'éléphant. Je ne débats jamais sans assurer mes arrières.