un Afro-Américain homosexuel exécute en direct deux ex-collègues journalistes sur la base d'accusations délirantes de "racisme"

Vester Lee Flanagan, alias "Bryce Williams" était un Afro-Américain homosexuel qui travaillait pour des chaînes de télévision américaines. Lunatique et psychiatriquement instable, il accusait systématiquement ses collègues d'allusions racistes imaginaires, comme en témoigne l'article ci-dessous:

http://nypost.com/2015/08/28/reporters-everyday-comments-deemed-racist-by-on-air-killer/


Ci-dessous la vidéo intégrale du double meurtre de ses ex-collègues, motivé par son renvoi de la chaîne, par une allusion raciste imaginaire d'Alison Parker et par une dénonciation de son instabilité émotionnelle par le caméraman:

http://www.liveleak.com/view?i=abb_1440602969


Dans son manifeste de 24 pages, le Noir homosexuel définit son acte comme une réponse à la tuerie perpétrée par Dylann Roof à Charleston. En outre, il avait massacré ses propres chats dans une forêt sous des prétextes délirants.

Voici notre interprétation de ce fait divers: d'un côté, nous avons un jeune homme idéaliste qui dénonce la criminalité endémique des Noirs et agit pour protéger sa propre race. De l'autre, nous avons un espèce de déséquilibré qui invoque des prétextes décousus pour tuer des ex-collègues qui n'ont pas voulu travailler avec lui et supporter son comportement délirant. La différence de traitement médiatique de ces deux affaires en dit long sur la façon dont les capitalistes abordent les problèmes raciaux: négation, inversion et culpabilisation.

Vester Lee Flanagan avait déjà porté plainte contre ses précédents employeurs pour un comportement raciste imaginaire, et l'affaire s'était réglée à l'amiable. Mais la justice démocratique ne lui a pas suffi, alors il a voulu appliquer sa propre justice narcissique.

En résumé: un Noir pervers accuse les autres de racisme. Il porte plainte. On lui verse une réparation financière sans prouver que ses accusations étaient fondées. On le vire d'un autre établissement pour son comportement erratique. Cette fois-ci, il décide de se venger de façon plus directe en filmant sa vengeance, qui fait la une des journaux télévisés du monde entier. Sur son profil de Noir homosexuel pervers et mythomane, pas la moindre information. D'après les médias démocratiques, c'est un homme qui s'est vengé d'une collègue qui l'a quitté pour un caméraman.

Noir, homosexuel, donc forcément victime de racisme et d'homophobie. Fausse victime, véritable meurtrier. Le jeune homme idéaliste avait raison.